Je me couche très tard avec le mal qui envahit mes yeux, et je me réveille très tôt avec le mal qui a contaminé mon corps. Loin de chez moi, voir l'horreur frapper à nouveau, comme à Orlando, Istanbul, Bagdad, me fait vomir mes cellules vivantes. Je clôture prématurément ce voyage avec des images noir et blanc de la nature slovaque, une belle nature qui renvoie une harmonie et une paix intérieure que j'avais jusqu'à cette nuit. Les couleurs doivent venir des gens, comme cette fraternité que nous avions au milieu des avoines folles, hier, tout comme cela devait être aussi le cas pour ces gens fauchés pour rien. sur la baie des anges un 14 juillet 2016.

So far, not so good